Dans les coulisses du Bec stage – vu par Plume Libre

 Hier soir, j’ai eu la chance d’assister au tournage de l’émission Bec Stage, et ce que j’y ai vu, entendu, ressenti… je ne pouvais pas ne pas le partager.

 

Sur le plateau, Areski et Franck Margerin. Deux noms, deux univers. Le premier, tout le monde à Sens le connaît : Areski, c’est d’abord les pizzas, et aujourd’hui, c’est le patron de la boîte de nuit Le Céleste. Le second, c’est le dessinateur légendaire de Lucien, une figure marquante de la bande dessinée française. Deux hommes aux parcours très différents, et pourtant, hier soir, une même sincérité dans leurs paroles, une même sensibilité dans leurs regards. Ils ont parlé de leurs débuts, de leurs galères, de leur passion. Et c’était beau, simplement beau.

 

Le duo Chorus, avec David à la guitare et Paola au chant, a ajouté une touche de douceur à la soirée. La voix de Paola m’a traversée. Elle a ce don rare de toucher en plein cœur, sans en faire trop. Leur musique a enveloppé la pièce d’une chaleur particulière, celle qu’on ressent quand les émotions sont vraies.

 

Mais ce qui m’a vraiment marquée, c’est tout ce qu’il y avait derrière les caméras.

 

Bec Stage, c’est le fruit d’une collaboration précieuse entre la Télé de L’Yonne , Paradox et Entropia Productions. Trois structures, mais une même volonté : faire de chaque tournage une rencontre humaine.

 Chez Paradox, il y a Laurent. Chez Entropia, Benjamin. Tous les deux sont des vidéastes talentueux, mais surtout, ils ont ce regard bienveillant, cette écoute, cette manière d’être qui fait toute la différence. Ce sont des porteurs de projets, des bâtisseurs de liens., Ils vivent les projets avec ceux qui les composent.

 

Et puis il y a la Télé de L’Yonne dirigé par le talentueux Miguel ,

Un lieu d’accueil, d’apprentissage, et surtout d’espoir. Derrière les caméras, derrière le son, le montage, il y a des jeunes en réinsertion, qui se cherchent, qui apprennent, qui se construisent. Ce que j’ai vu, c’est une vraie famille. Un endroit où chacun peut trouver sa place, avancer à son rythme, entouré, accompagné, encouragé. La Télé de L’Yonne est un lieu de vie,où il fait bon vivre.

Miguel, à l’origine du projet Bec stage, c’est l’incarnation des bonnes vibes. Son talent brut, son énergie contagieuse et son incroyable sens de l’humain transforment tout ce qu’il touche. Il inspire, rapproche les gens et fait naître des connexions profondes, là où l’on ne s’y attendait pas. Un véritable catalyseur de belles énergies.

 

Hier soir, en quittant le plateau, j’ai eu ce sentiment rare de me dire : “Oui, c’est ça que j’ai envie de raconter.” Pas seulement les noms, pas seulement les talents, mais l’envers du décor. L’humain. Les regards échangés, les silences remplis de sens, les sourires vrais.

 

“Quand les chemins se croisent avec le cœur, il se passe toujours quelque chose de vrai.”

 

Plume Libre 🪶

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